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Un livre très
interressant, et, qui fait vraiment réfléchir!!!
A lire, vraiment bien écrit, et, avec une bonne histoire.
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déposé par Naomi (21 septembre
2008)
Je viens
de lire "La vie en gros" et "tout doit disparaître".
L'approche psychologique de l'enfant dans ces deux livres
est très fine. L'auteur nous emmène au plus
profond des sentiments et de la pensée de ces personnages.Ladescription
de ce qu'un expatrié rescent lors de son retour dans
son pays d'origine est très vraie (Tout doit disparaître).
Franchement, bravo.
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déposé par Drickcé
(5 décembre 2007)
J'ai eu
la chance de partir pour Mayotte pendant quelques temps mais
dans un cadre privilégié et surprotégé.
Les jeunes blancs rencontrés m'ont tous fait la même
remarque : ils se sentaient "à côté"
de leur monde et pourtant leurs retours fut aussi éprouvant
que l'avait été leurs départs. Merci
pour votre livre où vous avez parfaitement su analyser
la situation et restituer les émotions d'Hugo. Merci
encore et félicitations.
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déposé par Fanny (20 juin
2007)
Je viens
de lire votre livre "Tout doit disparaitre". J'ai
été enseignant à Mayotte de 1998 à
2002, et j'ai beaucoup apprécié votre vision
du monde éducatif et des adolescents sur l'ile. C'est
vraiment très réaliste. La progression de l'état
d'esprit des enseignants sur les 4 années est parfaitement
analysée.
Je vous remercie des deux heures agréables à
vous lire.
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déposé par Pierre (14 juin
2007)
Je suis
bibliothécaire spécialisée en jeunesse.
La semaine dernière, en une séance de prêt,
j'ai tracé "Tout doit disparaître"
d'un coup. Hop, avalé, ingurgité sans mâcher.
Pourtant les bouchées rapides, entre deux lecteurs
à servir, furent des coups de poing agréables
et salvateurs. Moi aussi, j'ai vécu 9 ans en Afrique.
Mes parents ne m'ont pas donné le choix, c'était
des broussards férus de projets de développement.
Bien sûr, la vie est douce sous les cocotiers, mais
quand on est allergique à la poussière, à
la chaleur et au monde de parvenus que sont tous ces blancs
qui traitent les africains comme des esclaves...Bof. Les lycées
français sont des cauchemars. Je suis une des rares
européennes expatriées qui ne rêve absolument
pas d'y retourner. [...]
Je comprends parfaitement la lassitude d'Hugo face à
ce déluge de loisirs chers qui ns rassasient si peu.
Mais c'était comme des bulles de pensées en
moi que je n'avais jamais bien définies.
Vous avez mis des mots sur mon expérience africaine
et sur mon retour à la soi-disant civilisation.
Je comprends pourquoi, maintenant, je me suis jetée
sur la littérature pour oublier mon malaise et mon
incapacité à me situer : être une blanche
qui a vécu ailleurs c'est devenir une étrangère
partout où qu'on aille. Ici je suis une martienne,
je m'habille avec du pagne, je suis hyper bohème, je
vis hors des sentiers battus. En Afrique, j'ai la peau trop
blanche pour le soleil et leur manque de discernement m'exaspère
(ils croient tous qu'en Europe la vie est plus belle...).
J'aime leur culture et leur musique, mais j'aime les bonnes
forêts bien feuillues avec du brouillard ! Je suis une
métisse intérieure et tiraillée entre
deux mondes.
Votre texte est celui que j'attendais. Il m'éclaire
beaucoup. Le message sur la société de consommation
m'a permis de bien faire la part des choses et de prendre
qq bonnes décisions. Merci, merci, merci !
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déposé par M. (14 juin 2007)
Jeune libraire
jeunesse, j'ai fini "Tout doit disparaitre" en arrivant
métro Saint-Lazare, étouffant de panneaux publicitaires.
Merci pour ce livre qui distille un message très important
par le biais d'un adolescent auquel on s'attache vite! Je
le conseillerai donc à l'avenir
Bonne continuation...
Message
déposé par Morgane (10 juin
2007)
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